
OHP-GEO
-CNRS
-AMU
-IRD
-IRSTEA
-OVSQ Tutelle partenaire associée
Laboratoire d'accueil :
- Observatoire de Haute Provence
Infrastructures de rattachement :
- ACTRIS-Fr
- ICOS-Fr
SNO de rattachement :
- NDACC
- PHOTONS-AERONET
Descriptif:
L’Observatoire de Haute Provence (OHP) est le seul site français autant instrumenté en moyens d’observations atmosphériques et situé en climat méditerranéen, favorable à la validation de mesures spatiales. Sa situation géographique dans une forêt de chênes blancs pubescents, à 100 km au nord de la métropole d’Aix-Marseille et des côtes de la Méditerranée, en font un site permettant des études uniques dans le paysage français. L’OHP héberge aujourd’hui 3 SNOs de l’INSU (NDACC-Fr, ICOS-Fr et PHOTONS) et présente l’intérêt d’être un noeud des réseaux atmosphériques français. Il s’inscrit dans la TGIR ICOS-France et l’IR Actris-Fr, et au niveau européen dans l’ERIC ICOS et ACTRIS, notamment en tant qu’élément du Centre de calibration Aerosols Remote Sensing et Trace Gases Remote Sensing. L’OHP vise également à obtenir le statut de National Facility et s’efforce pour cela d’améliorer les capacités de ses Lidars aérosols. L’OHP dispose de toutes les capacités d’accueil nécessaires pour la réalisation de campagnes et de projets, et l’accueil de formation, comme il l’a démontré au cours de ces dernières années. Les recherches du SI OHP-GEO s’articulent autour de trois thématiques transverses aux SNOs qu’il héberge :
L’OHP est un site qui produit des séries temporelles continues depuis 1979, dont certaines sont uniques au monde pour leur durée. Ses moyens d’observations lui permettent de réaliser des études du sol jusqu’à 90 km d’altitude, des comparaisons avec les modèles, ou encore avec des observations satellitaires. La qualité de transparence en fait un site unique pour les observations utilisant les techniques de télédétection optique idéale pour la synergie avec les observations depuis l’espace. L’OHP enfin souhaite renforcer son instrumentation dans la couche limite atmosphérique pour rejoindre les groupes de travail Gaz traces, Aérosols in-situ et Fux d’Actris-Fr, et ainsi renforcer les observations qu’il pourra mettre à la disposition des communautés régionale, nationale et internationale, en vue de leur permettre de développer des programmes de recherche et d’observations atmosphériques novateurs et de grande qualité. |