Aura-t-on encore de l’eau douce demain ?

Démarche scientifique Surfaces continentales

Dans l’inconscient collectif, l’eau, c’est l’eau de surface ou eau douce. Mais celle-ci ne correspond qu’à 2,5 % de l’hydrosphère (l’ensemble des zones de la planète occupées par de l’eau), les 97,5 % restants étant salés. Parmi ces 2,5 % d’eau douce, la majeure partie (comme celle des calottes polaires, ou encore les nappes phréatiques très profondes) est indisponible pour la consommation humaine. Cela laisse moins d’1% de l’eau de la Planète disponible pour notre consommation.

Cette eau disponible pour la vie devient rare. Pourtant, son volume total sur Terre reste constant : elle circule entre les différents réservoirs du cycle de l’eau. Le problème est donc lié à sa répartition et à sa disponibilité.  Que se passe-t-il exactement ? Aura-t-on encore de l’eau douce demain ?

Synthèse graphique réalisée par Claire Marc (Méduse Communication) avec le précieux apport scientifique de Sandrine Anquetin, chercheuse CNRS à l' Institut des géosciences de l'environnement (IGE).
 

Cette série de planches est réalisée dans le cadre de l'Année des géosciences, une opération de médiation scientifique à destination des scolaires et de leurs enseignants, réalisée en partenariat avec l’Éducation nationale. L'ensemble des planches sont regroupées dans le livre "Tout comprendre (ou presque) sur notre planète", paru chez CNRS Éditions le 13 novembre 2025.

Mots-clés

Cycle de l'eau - Sécheresse - Empreinte en eau

Aura-t-on encore de l’eau douce demain ?
© Méduse Communication